วันอาทิตย์, สิงหาคม 22, 2553

Wpress: Red Shirts Return

by Gooseh hard core on 2010-08-23 - 09.54 AM
Ref: WDPress@ 2010-08-21 – 16:42:04

จาก อัลบั้มWdpress
The struggle continues!!

Red Shirts are organising the first mass protest since the military crack down in May. Thousands are meeting in the centre of Chiang Mai this Sunday (22 August) to call for Democracy and to remember the 90+ people killed by Abhisit's military junta.

จาก อัลบั้มWdpress

Many of the 168 detained red shirts in the North-East denied basic rights
Ref: WDPress @ 2010-08-20 – 11:39:42

Many of the 168 detained red shirts in the North-East denied basic rights
(La plupart des 168 détenus chemises rouges du Nord-Est se voient nier leurs droits fondamentaux)... For French see below...

From: http://thaipoliticalprisoners.wordpress.com/ and Prachatai webpage newspaper
[The PIC website is: http://www.peaceandjusticenetwork.org/ ]

The People’s Information Centre is an “alliance of a dozen lawyers, academics and social activists formed a month ago to help red shirts who say they are innocent of any crime…”. PIC has now accused the state of illegal acts against United Front for Democracy against Dictatorship protesters who were arrested following the government’s 19 May crackdown.
PIC states that the suspects “should be entitled to fair and adequate medical treatment, and their bail should be based on their economic status…”.

PIC has information on some 168 red shirts that have been arrested in the Northeast. Ubon Ratchathani has 60, Udon Thani 54, Mukdahan has 28, Maha Sarakham 12 and Khon Kaen has 10 in detention. However, they have no information on other provinces in the region. (These figures maybe under-estimates).

PIC says that reports of “harassment and arrests were continuing to come out even though the emergency decree had been revoked in several provinces.” Astoundingly, there are reports that “suspects in Mukdahan had been tortured to confess to arson. They were allegedly hit with hard sticks, kicked with combat boots and caned.” One suspect, ill with the final stages of cancer has been prevented from receiving adequate medical treatment.

These are some of the serious issues facing these political prisoners:
1. Police evidence used for Warrants of arrest is unclear and lacking in legal standards. So people have been arrested and detained under conditions where there is a lack of clear evidence.

2. Those issued with arrest warrants are sometimes unaware of the warrants. This means that they could be facing further charges of “resisting or avoiding arrest”.

3. Some of those who have been detained were assaulted by police while being arrested, despite not resisting arrest.

4. Police use threats and coercion to obtain “confessions”. It is standard practice to tell defendants that their punishment will be less severe if they confess, whether this is true or not and whether they are guilty or not.

5. Many defendants are still denied proper legal representation.

6. Judges have decided to deny bail to Red Shirts, without using standard legal rules. The judges claim they will all try to escape court proceedings, despite having no evidence to prove this. The judges obviously see them as “political prisoners who are already guilty”.

7. Prison conditions are brutal and over-crowded.

8. Defendant’s families are suffering financial consequences. There is no welfare state in Thailand and the fabulously wealthy conservative elites are fiercely opposed to state welfare for citizens.

9. Those defendants who were shot or injured by security officers and those with long-term illnesses are denied proper medical treatment.

The government has repeatedly denied such claims claiming to abide by human rights principles.
PIC does not provide legal aid to suspects but is “calling on the authorities to respect their basic human rights…”

1. The Government must publish an up to date list of all those detained or facing arrest.

2. The Government must provide adequate medical assistance to those prisoners in need.

3. The Government must seriously review the procedures involved with issuing arrest warrants for these political prisoners, since in the past the authorities have just rounded up people without proper evidence. Many people are just detained for weeks and weeks while the police try to build a case against them.

4. Unconditional bail should be granted to prisoners. They should not be made to find huge sums of bail money.

5. Courts should uphold the basic standard which recognises the innocence of defendants until proven guilty in court.

PIC Hotline ศปช.ฮอตไลน์ 08-6060-5433 or peopleinfocenter@gmail.com
Donations: เลขที่บัญชี 645-2-02766 -4 ธนาคารกสิกรไทย สาขาม.ธรรมศาสตร์ ท่าพระจันทร์
ชื่อบัญชี "น.ส.กฤตยา อาชวนิจกุล และนายอภิชาต สถิตนิรามัย และ น.ส.ขวัญระวี วังอุดม และ นายชัยธวัช ตุลาธน"

La plupart des 168 détenus chemises rouges du Nord-Est se voient nier leurs droits fondamentaux

De: http://thaipoliticalprisoners.wordpress.com/ et le journal page Prachatai

[Le lien du site du PIC est: http://www.peaceandjusticenetwork.org/]

Le Centre d'information populaire est une alliance "d'une douzaine d'avocats, d'universitaires et de militants sociaux formé il y a un mois pour aider les chemises rouges supposés innocents de tout crime...". Le PIC a accusé l'Etat d'actes illicites dirigés contre les manifestants du Front Uni pour la Démocratie contre la Dictature qui ont été arrêtés après la répression gouvernementale du 19 mai dernier.

Le PIC déclare que les suspects "devraient bénéficier d'un traitement médical équitable et adéquat et que leur liberté sous caution devrait être calculée en fonction de leur situation économique ...".

Le PIC a des informations sur quelque 168 chemises rouges qui ont été arrêtés dans le Nord-Est, 60 à Ubon Ratchathani, 54 à Udon Thani, 28 à Mukdahan, 12 à Maha Sarakham et Khon Kaen en a 10 en détention. Cependant, il n'a aucune information sur les autres provinces de la région.

Le PIC explique que des rapports de "harcèlement et d'arrestations continuent à arriver, malgré le fait que le décret d'urgence ait été révoqué dans plusieurs provinces." Étonnamment, il y a aussi des rapports comme quoi "les suspects à Mukdahan ont été torturé pour avouer un incendie criminel. Ils auraient été frappé entre autre avec des bâtons, à coups de bottes et à coups de canne. "Un suspect, malade en phase terminale d'un cancer a été empêché de recevoir un traitement médical adéquat.

Ce sont certaines des questions graves sur le cas de ces prisonniers politiques:

1. La police a utilisé des éléments de preuve pour établir ses mandats d'arrêt qui ne sont pas clair et qui manquent de normes juridiques. Énormément de gens ont été arrêtés et détenus dans des conditions avec un manque de données précises.

2. Ces mandats d'arrêt émis sont parfois méconnus par les intéressés. Cela signifie qu'ils pourraient faire face à de nouvelles accusations pour avoir "résistés ou cherchés à échapper à une arrestation».

3: Certains de ceux qui ont été arrêtés ont été physiquement agressés par la police lors de leurs arrestations malgré le fait de n'avoir pas résistés aux interpellations.

4. la police a utilisé la menace et la coercition pour obtenir des «aveux». Il est par exemple courant de dire aux accusés que leur peine sera moins sévère s'ils avouent, que cela soit vrai ou non, et qu'ils soient coupables ou non.

5. De nombreux accusés sont toujours privés de représentation juridique adéquate.

6. Les juges ont décidé de refuser la liberté sous caution aux chemises rouges et cela malgré la loi qui l'autorise. Les juges affirment qu'ils vont tous essayer d'échapper à une procédure judiciaire, malgré l'absence d'éléments pour le prouver. Les juges les perçoivent de toute évidence comme des "prisonniers politiques qui sont déjà coupable" avant même d'avoir été jugés.

7. Les conditions de détention sont brutales et les cellules sont surpeuplées.

8. Les familles des détenus souffrent des conséquences financières. Il n'y a pas d'État providence en Thaïlande et les élites richissimes conservatrices y sont farouchement opposées pour les citoyens.

9. Les accusés qui ont été blessés par les forces de sécurité et ceux atteints de maladies graves, se voient refuser un traitement médical approprié.

Le gouvernement a nié à plusieurs reprises ces allégations prétendant respecter les principes des droits de l'homme.

Le PIC ne fournit pas d'aide juridique aux suspects mais "appelle les autorités à respecter leurs droits fondamentaux ..."

1. Le gouvernement doit publier une liste mise à jour de toutes les personnes détenues ou qui ont fait face à une arrestation.

2. Le gouvernement doit fournir une assistance médicale aux prisonniers dans le besoin.

3. Le gouvernement doit étudier sérieusement les procédures à suivre pour la délivrance de mandats d'arrêt contre ces prisonniers politiques car, dans le passé, les autorités ont simplement emprisonnées des gens sans preuves suffisantes. Beaucoup de gens ont été détenus pendant des semaines et des semaines alors que la police cherchait à monter un dossier contre eux.

4. La liberté sous caution sans condition doit être accordée aux détenus. Cela ne doit pas être calculé dans le but de trouver d'énormes sommes d'argent pour les cautions.

5. Les tribunaux doivent respecter les normes de base qui reconnaissent l'innocence des accusés jusqu'à preuve du contraire par les tribunaux.

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